Faire du commerce
Domaine public / William Henry Bartlett / Bibliothèque et Archives Canada / MIKAN 2837949
Le commerce des fourrures : Au début du 19e siècle, le commerce des fourrures est en difficulté. Les marchands de Montréal ne font plus beaucoup d’argent, car il faut aller de plus en plus loin pour trouver des fourrures. La colonie doit donc se trouver un nouveau moteur économique.
Le bois : Heureusement, le commerce du bois est en pleine expansion; la demande provenant de l’Angleterre est très grande. L’Angleterre doit venir s’approvisionner en bois dans la colonie malgré la longue distance à parcourir. On a besoin de bois pour construire des navires, des maisons ou encore pour fabriquer des tonneaux.
L’agriculture : La principale activité économique, c'est l'agriculture. Cependant, dans les seigneuries de la plaine du Saint-Laurent, les terres sont épuisées et surpeuplées. Il faut diversifier les cultures, mais c’est à peine si chaque terre fournit ce qui est nécessaire pour nourrir une famille.
Dans la colonie, le commerce est maintenant entre les mains de grands commerçants anglais qui fondent plusieurs compagnies et même des banques pour répondre à leurs demandes. Le commerce change, ce qui entraîne la création de nouvelles industries.